Nouveaux Concepts
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    En relation avec mes travaux sur la creusité de la Terre et surtout sur les doubles marrées, voici quelques concepts qui déboucheront probablement un jour sur des inventions technologiques pratico-pratique de tous les jours.

    * Faire tourner sur lui-même un satellite pour avoir un équilibre stable verticalement pour une même vitesse de rotation dans son déplacement géostationnaire autour de la Terre.

    Ce truc est peut-être déjà connu et mis en application, car je me souviens d'avoir observer au télescope, en direction franc ouest en Haut dans la Maison de mes parents, une lumière intense dans le ciel, plus brillante que Vénus et immobile en apparence, durant de nombreux jours. Et là, quelle ne fut pas ma surprise de constater, surtout la première fois, que l'objet, qui devait être immense, tournait sur lui-même en un peut plus d'une minute et demi!!! Pourquoi faisait-il cela? Était-ce pour se donner une certaine gravitation (poids) dans l'appareil ? À l'époque, je ne pouvais m'imaginer autre chose comme explication...

    Toutefois, cette pratique permettrait d'avoir des satellites géostationnaires plus près de la surface de la Terre pour une même vitesse de rotation autour d'elle, par exemple, mais aussi de sauver du carburant pour se déployer dans l'espace lors des lancements (faire tourner au préalable, par exemple, ... faire chauffer un moteur lors d'un lancement). Ainsi, il serait possible de se déplacer de haut en bas verticalement parlant sans avoir à jouer avec la vitesse de déplacement horizontale, car elle s'ajusterait toute seule: il suffirait de faire varier la vitesse de rotation d'une ceinture extérieur du vaisseau pour augmenter ou diminuer le poids de l'engin. Ce principe permettrait aussi d'avoir plus de satellites sur des couches rapprochées sans risque de se heurter, ou ayant la possibilité d'ajuster leur position verticalement les uns par rapport aux autres assez facilement et rapidement... Il faut savoir que plus un objet monte dans l'atmosphère, plus son poids diminue sans toutefois changer de masse... cela signifie aussi que ce même poids devient plus sensible à l'effet centrifuge dû à l'inertie de rotation. Plus une masse tourne vite sur elle-même, moins la Terre peut l'entraîner facilement dans sa propre rotation car sa force d'attraction reste fixe pour une même distance radiale (même hauteur verticale) tandis que la force d'opposition résultante de l'autorotation de l'objet augmente avec la vitesse de cette rotation (pensez à l'effet gyroscopique... car c'est de cela aussi dont je parle). Il serait sûrement plus facile et moins coûteux de jouer sur la vitesse d'autorotation que sur la vitesse de rotation autour de la Terre.

    De plus, une partie de l'auto-rotation de la partie extérieur du vaisseau lui-même pourrait être transférée à l'intérieur du véhicule pour donner du poids localement  au objets et aux personnes. Un peu comme une soucoupe volant quoi!..

    * Ainsi aussi, il nous suffirait d'utiliser ce principe avec des objets tournant et à vitesse variable (comme une toupie, ou un gyroscope; ou un disque tournant, centralisé ou un rotor [ovni miniature] pour en augmenter le poids contre la structure du vaisseau spatial. Dans l'espace, cela permettrait aussi de diminuer la dégénérescence de la musculature: donc un besoin moins grand de périodes d'entraînement musculaire (de musculation ) avant comme durant le vol (laboratoire habité).

    L'acclimatation de départ serait moins long, moins difficile, moins pénible et moins coûteux. De même pour le retour sur Terre ou en son lieu de départ.

    * Un moteur à vitesse variable, doté d'un volant massif, pourrait servir d'ascenseur dans les vaisseaux ou véhicule de déplacement en orbite.

    * Dans un satellite stable dans sa rotation autour de la Terre, il serait possible d'expérimenter plus facilement l'antigravitation dû à la rotation sur lui-même d'une masse donnée et d'en trouver les paramètres fondamentaux.

    * Cela pourrait également permettre le sondage de la densité de la Terre ou d'une autre planète (pour trouver du pétrole (genre, par exemple).

    * En inversant le processus, on aurait là une radio à diffusion d'ondes gravitationnelles pour communiquer en temps réel (ou absolu) peu importe la distance (distance astronomique).

    * Cela pourrait permettre la détection d'un objet spatial ou céleste en déplacement.

POUR LA COMMUNICATION PAR ONDES GRAVITATIONNELLES

     On pourrait installer une Grande Croix dans la très haute atmosphère munie de deux masses substantielles sur ses deux bras (une de chaque côté) sur des positions équidistantes de l'axe centrale sur lequel un moteur pourrait faire déplacer un système de câblage lié aux deux masses pouvant elles-mêmes se déplacer orthogonalement sur ces deux bras. Il faudrait au préalable faire tourner  la croix avec ses deux masses autour de l'axe central avec une grande vitesse, puis établir la signification d'une position donnée (qui serait aussi une distance donnée entre les deux masses) afin que chaque position ait une fréquence de rotation précise s'apparentant à un symbole signifiant (26 lettres alphabétiques et dix chiffres). Ce serait comme un équivalent d'un télégraphe pour les ondes électriques. Lors d'une communication, il suffirait d'arrêter un certain temps (par exemple une seconde) sur chaque symbole du message à transmettre. La conservation de l'énergie fait en sorte que l'inertie de rotation serait conservée par l'ajustement automatiquement de la vitesse de rotation autour de l'axe central de la croix pour chaque positionnement des masses. Un détecteur de fréquence de la variation gravitationnelle servirait de récepteur.

    On sait que la force gravitationnelle se fait sentir à distance et à travers la matière elle-même. Ainsi, une telle croix pourrait aussi être installée à l'intérieur de la planète où le poids est presque nul (cela en faciliterait l'installation).

    De même et pour les même raisons, le récepteur (Détecteur de Variation Gravitationnelle) peut fonctionner à l'intérieur d'une Planète. De plus, par ces deux procédé appareillés ou uni, on pourrait communiquer entre la surface interne et la surface externe d'une même Planète ou de Planètes différentes partout dans le Grand Cosmos. La difficulté restante consisterait à régler convenablement les intensités des ondes pour l'émission comme pour la réception en fonction de la distance.

Pour la détection, le principe des dynamomètres, qui détecte la force gravitationnelle appliquée sur une masse donnée, serait encore utile... il suffirait d'enregistrer sa variation et d'en utiliser sa fréquence. Il est probable que les principes du microscope électronique devraient aussi y participer, y apporter quelques élément de fabrication....

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