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article est parue dans TOP
SECRET N°9
L'arme
ultime du IIIème Reich
Cet
article détaille avec le plus de rigeur et d'honnêteté
possible les technique antigravitationnelles Allemandes sous le régime
nazi. Etant donné qu'il n'existe que très peu de documents
et de photos de ces prototypes, certains de ces documents peuvent se révéler
innexacte avec le temps et les déclassifications de document.
Ci-dessus, image rare d'une Haunebu I en couleur
Historique des techniques d'antigravité Nazies :
En
1922, la Thulé gesellshaft (société de Thulé),
un groupe pré-nazi occulte, crée en son sein un groupe d'étude
de l'antigravité, la Vril gesselshaft. Ils font voler de l'été
1922 à 1924 un démonstrateur antigravitationnel non piloté
baptisé "Jenseintsflugmashine" (JFM) qui signifie "machine volante
de l'autre côté". Par la suite, le démonstrateur sera
démonté et stocké dans les usines Messerschmidt. Ce
sytème antigravitationnel électromécanique, s'inspire
largement des travaux théoriques de Nicolas Tesla et du physicien
Allemand Levetzow ainsi que des théorie implosive de Shauberger.
Le système comprend deux disque contra-rotatifs (diamètre
6.50m et 7m) encadrant un troisième disque fixe (diamètre
8m). Le trois disque sont percés en leur centre d'un orifice (diamètre
1.80m), occupé par un cylindre surmonté d'un cône (hauteur
2.40m) contenant le système de mise en rotation et des charge magnétique
des disques. De 1922 à 1932, le système est simplifié
et n'utilise plus qu'un seul disque.
Ci-dessus, la Jenseitsflugmaschine en 1922
Un
apareil piloté utilisant ce disque sera testé en 1934 mais
se révelera tellement catastrophique que ce système antigravitationnel
mécanique sera définitivement abandonné la même
année. Dès 1933, le nouveau régime nazi place
la Vril gesellshaft et ses travaux sous le contrôle directe de la
SS de Himmler, à l'intérieur d'une section spéciale
baptisée "Entvoklungsstelle IV" (groupe de dévellopement
4) ou SS-E-IV. Le docteur Walter.O. Schumann, un physicien de l'université
de Munich et membre de la Vril gesellshaft, crée a Munich un premier
groupe de travail placé sous la direction technique de l'ingénieure
et capitaine SS Hans Kohler. Pour la construction des prototypes, Himmler
met à la disposition de Schumann les moyens industriels du constructeur
aéronautique Arado à Brandebourg. Le docteur Victor Shauberger,
physicien et ingénieur travaillant pour la société
autrichienne Koertl et enseignant à l'université de Vienne,
rejoint la Vril gesellshaft en 1934. En juin 1934, un deuxième groupe
de travail est créé à Neustadt près de Vienne
et placé sous la direction de Shauberger. Leurs prototypes sont
fabriqués par les usines Dornier. L'équipe de Shauberger
comprend les ingénieurs aéronautiques Shriever et Habermohl,
les ingénieurs spécialisés en électromagnétique
Miethe et Belluzo, l'ingénieur spécialiste de la propulsion
à réaction Andreas Epp et un physicien métallurgiste
le docteur Erich Wang.
Ci-dessus, Hans Kholer
À
partir de 1941 Shauberger est remplacé par Miethe à la tête
du groupe de travail, et les laboratoires déménagent à
Bresslau, les essais en vol ayant lieu à côté de Prague.
Les équipes de Shauberger-Miethe et de Schumann-Kohler collaborent
étroitement ensemble durant toute la guerre. L'équipe de
Miethe s'oriente vers la construction de petits prototypes antigravitationnels
alors que l'équipe de Schumann, qui a conçu un système
antigravitationnel nettement plus performant, réalise des prototypes
de grande taille. À la fin de la guerre, les Soviétiques
ne captureront que quelques films d'essai des prototypes ainsi que les
rapports techniques des archives de la SS à Berlin. Les Américains
par contre mettront la main sur des plans originaux ainsi que de nombreuses
pièces détachées en cours de fabrication et peut-être
même, si l'on en croit certains témoignages, sur un prototype
complet du modèle Haunebu 2.
Ci-dessus, le rapport top secret des moyen Nazi a la fin de la guerre. Le titre laisse rêveur
L'équipe de Miethe travaillera pour les Américains et les Canadiens après la guerre, l'équipe de Schumann quant à elle ne travaillant que pour les États-Unis. Shriever et Miethe conseilleront même la société De Havilland au Canada pour la construction d'une copie du V7 Kugelblitz qui ne fonctionnera jamais correctement. Les Anglais captureront aussi de nombreux plans de prototypes antigravitationnels mais se révéleront incapables d'en comprendre le fonctionnement. Les Américains devront attendre les années 80 pour enfin maîtriser à nouveau ces techniques allemandes. Cela est dû au fait que les physiciens militaires anglo-saxons mirent trente ans à admettre que leur physique était incomplète et que les théories négentropiques permettant de maîtriser l'antigravité étaient justes.
Les "Haunebu" de Schumann et Kohler: Début 1934, Schumann construit avec Arado un démonstrateur antigravitationnel piloté utilisant le disque de la Vril gesellshaft. Le prototype est baptisé Rundflugzeug 1 (machine volante circulaire) ou RFZ 1. Lors de son unique vol en juin 1934 sur la base d'essai d'Arado à Brandebourg, l'engin s'élève à 60 mètres puis oscille durant quelques minutes avant que le pilote d'essai Lothar Waiz, effrayé, ne pose en catastrophe l'appareil au sol. Le pilote a juste le temps de sauter de l'appareil avant que celui-ci, qui continue à tourner comme une toupie, n'éclate en morceaux. Quoi qu'il n'existe aucune photo ou illustration de cet appareil, celui-ci ressemble énormément au prototype de Ottis Carr ('un disciple de Nicolas Tesla) conçu dans les années 60. Après avoir collaboré à des recherches fondamentales avec l'équipe de Shauberger, l'équipe de Schumann fait voler en août 1943 le "Haunebu 1". D'une hauteur de 8 m 50 et d'un diamètre de 25 mètres il peut emmener un équipage de huit hommes. Dès 1943 il atteint la vitesse de 4800 km/h dans la basse atmosphère et était supposé pouvoir atteindre 17 000 km/h. Il a une autonomie de 18 heures de vol. Il est équipé sur sa partie inférieure d'une tourelle canon dont nul ne sait s'il s'agissait d'un canon double classique de 7,5 mm ou d'un canon électromagnétique. Plusieurs résonateurs annulaires furent testés avec des diamètres variant de 25 à 32 mètres.
En
1940 l'équipe de Shauberger et Miethe se voit confier deux programmes
différents : le premier baptisé V7 (arme de vengeance nº
7) est un disque propulsé par des réacteurs de Shauberger,
le deuxième baptisé Vril est une série de six prototypes
antigravitationnels monoplaces. En 1940 l'équipe de Shauberger construits
et fait voler un démonstrateur à aile circulaire, propulsé
par une fusée au peroxyde d'hydrogène, qui se révélera
décevant et sera vite abandonné. Parallèlement Shauberger
achève la mise au point de ses réacteurs à tornade
qu'il baptise Repulsme. En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction
du premier V7 qui effectue ses premiers vols stationnaires près
de Prague en décembre 1942 sous le nom de V7 FlugKreisel. D'une
hauteur de 3 m 20 et d'un diamètre de 14 m 40 l'appareil est propulsé
par cinq réacteurs à tornade de Shauberger, deux d'entre
eux assurant la translation horizontale les trois autres entraînant
un rotor à pas variable permettant le décollage vertical
et la sustentation. Le FlugKreisel n'effectuera que des vols de courte
durée entre 1943 et fin 44 sans jamais dépasser quelques
centaines de km/h. En 1952, Shriever présentera à la presse
allemande le FlugKreisel. Fin 1944 le V7 définitif est construit
et vole le 19 février 1945 sous son nom définitif de V7 Kugelblitz,
il a la même taille que son prédécesseur. Il s'agit
d'une version profondément modifiée du FlugKreisel où
les pales du rotor n'ont plus de dièdre (inclinaison vers le haut)
et les réservoirs ainsi que les deux réacteurs de propulsion
sont fixés dans une structure annuaire entourant l'habitacle. Le
pilote quant à lui est allongé à plat ventre dans
une bulle de plexiglas permettant la vision aussi bien au-dessus de l'appareil
qu'en dessous.
Ci-dessus, plan de la V-7
En
avril 1945 l'appareil effectue au-dessus de la France et de l'Allemagne
quelques attaques réussies contre des formations de bombardiers
américains. Sa tactique consiste à passer devant les bombardiers
à une vitesse de 2200 km/h en lâchant un nuage d'un mélange
de 50 % de butane et de 50 % de propane. Lorsque les bombardiers traversent
ce nuage leurs pots d'échappement enflamment le mélange,
provoquant l'explosion de la formation de bombardier. Des rapports secrets
de l'Army Air Force de 1945 montrent que cette arme a littéralement
affolé le commandement allié. Parallèlement la série
des Vril antigravitationnels est développée. Le Vril 1 vole
en automne 1941, il atteint une vitesse de 2900 km/h pour une autonomie
de 5 h et n'emmène qu'un pilote. D'un diamètre de 11 m 56
il porte une petite tourelle de mitrailleuse sur sa partie inférieure
est un cockpit en plexiglas sur sa partie supérieure.
A gauche, la Vril 1 ; A droite, la Vril 1 sur une base Américaine
Ultérieurement,
le cockpit en plexiglas sera remplacé par un habitacle pressurisé
métallique surmonté d'une petite bulle de plexiglas. Une
version plus puissante du Vril 1 vole en automne 42 sous le nom de Vril
2, de même diamètre que le Vril 1 le Vril 2 vole à
plus de 6000 km/h. Le Vril 3 vole en 1943 et n'est qu'une évolution
du Vril 2 muni d'un canon de 7,5 mm sur le cockpit. Le Vril 4 quant à
lui comprend un tube au-dessus du cockpit dont l'auteur ignore complètement
l'utilité et n'est qu'une variante des Vrils 2 et 3. Le Vril 5 est
probablement le prototype le plus abouti de l'équipe de Shauberger.
Dès ses premiers vols en 1944 il atteint la vitesse de 12 000 km/h,
et il semble même qu'il ait quitté l'atmosphère à
plusieurs reprises ! Le Vril 6 ne sera jamais construit, quant au Vril
7 il s'agissait d'un projet de vaisseau géant de 120 mètres
de diamètre qui resta à l'état de plan.
Conclusion
:
Pour
l'auteur, il ne fait aucun doute que les Allemands ont maitrisé
l'antigravitation dès 1941 et qu'au moins trois prototypes ont volé.
Si aucun travail d'historien ne mentionne ces réalisations, c'est
tout simplement parce que les alliés ont fait de ces recherche le
plus grand secret de tout les temps, secret infiniment mieux protégé
que celui de la bombe atomique. L'arme ultime du IIIème
Reich est bien désormais le secret ultime des Américain
Ci-dessus, O.V.N.I construit pas les Anglais dans les années 60, cela donne une idée du redévlopement des OV.N.I nazis
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Cette
article est parue dans le défunt magazine Incroyable et scientifique
Les
O.V.N.I.S de Hitler
Les
O.V.N.I.S que l'on a pu observer dans le monde entier, au cours des 50
dernières années sont-ils des armes secrètes fabriquées
par le IIIème Reich ? C'est ce qui ressort, tout au moins
d'un mystèrieux rapport envoyé à l'auteur de ce reportage.
On y découvre que les étranges objets volants, vus dans le
ciel depuis 1945, sont en réalité des aéronefs crées,
à l'époque par les nazis et améliorés depuis
lors dans des bases secrètes.
Ce que vous
allez lire, amies lecteurs provient d'un dossier très documenté
qui m'a été envoyé de Vienne, en Autriche, sous
la forme de bande magnétique sonore, texte écrit et vidéo
en Allemand. Quand à l'identité de celui qui a vécu
ces faits et l'époque à laquelle ils se sont déroulés,
je dois confesser qu'ils continuent à être une enigme pour
moi :
Ci-dessus, couverture d'un livre sur les O.V.N.I des nazis
"Samedi, au
crépuscule, ciel sombre. Un nef spatiale s'approche à faible
allure. Ses dimensions : plus petites que celles d'un planeur. Elle émet
un son qui mèle souffle et sifflement. Elle vient vers moi et me
survole. Sa partie inférieure présente 3 coupes semi-sphériques
et un point bleu foncé. J'arrive aussi à distinguer une svastika
(croix gammée). Le vaisseau est d'aspect compacte et provoque en
moi une sensation incroyable, étrange et angoissante. Les alentours,
desert sont occupés par des usines désaffectées. L'étrange
appareil descend et atterrit derrière un mur. La lumière
du couchant est ténue mais toutefois assez forte pour me permettre
d'observer en détail les trois coupes inférieures posées
sur trois cylindres destinés à les recevoir. Puis, un camion-grue
s'approche pour effectuer une maneuvre que je ne peux discerner.
Je vois seulement deux êtres humains : l'un sous l'appreil, et l'autre,
juché au sommet. Rapidement, ce dernièr disparaît totalement
de ma vue. L'engin na n'y fenêtre, ni hublot. Sur ses flancs, je
ne vois que deuux petits orifices grillagés, apparamment sans vitres.
Ci-dessus, la soucoupe observer par notre témoin. D'après sa déscription, il s'agirait d'un Vril 5
Le disque volant
est entoré d'étrange plaque métalliques en forme de
pales de turbine, qui n'en sont sûrment pas. Aussi bien que sur les
3 coupes inférieurs que sur la partie supérieure de l'aéronef,
se trouvent des structures tubulaires saillantes qui pourraient être
des echappements ou des geules de canon (car elles sont trops grosses pour
des antennes).J'estime que cette appareil doit avoir un diamètre
compris entre 15 et 20 mètres. Il y'a aussi, sur les lieux, une
automobile de marque NSU. Immatricullée dans la ville de Solingen
et une volskwagen de couleur verte. C'est tout ce que j'ai vu et lorsque
je me suis approché de plus près, l'appareil a décollé
et pris de la hauteur. Quelques jours plus tard, de nombreuse personnes
ont affirmé avoir vu des O.V.N.I dans cette partie de la Bavière.
Je crois qu'il s'agit du même appareil ou d'engin semblable. Plus
tard, l'employé d'un garage me raconta avoir vu la même chose
que moi. Les gens qui entendaient son réçit se moquaient
de lui, tant et si bien qu'il fini par se rétracter et déclarer
que tout cela n'était qu'une plaisenterie. Mais en réalité,
d'après ses dires, nous avons vécu le même événement
énigmatique et troublant."
La première "infos" sur les O.V.N.I
Tout ceci n'est
peut être qu'un témoignage , parmi tant d'autres, sur les
OV.N.I mais à la lumière des données contenues dans
le rapport et dont la documentation m'a permis d'élaborer cet arcticle,
il revêt une importance particulière. Comme nous le verrons,
toujours d'après la même source d'information il existe de
singulières coïncidences entre la premières observations
de "soucoupes volantes" et la fabrication d'armes secrètes par les
nazis à la fin de la deuxième guerre mondiale. Ces mêmes
coïncidences pourraient fournir une explications à l'experience
de l'informateur anonyme. Je dirais, pour commencer, que le 14 décembre
1944 (6 mois avant la reddition des Allemands.) le prestigieux quotidien
Américain, le New York Times publiait , en ces termes, la première
nouvelle de ce siècle concernant des O.V.N.I : "Les soucoupes volantes
sont des armes secretes. Une nouvelle arme Allemande a fait son apparition
sur le front occidentale. Les pilote de l'US air force rapportent que des
boules d'argent survolent l'Allemagne parfois isolées, parfois en
formation. Certaines semblent être totalement transparentes."
Ci-dessus, l'article en question du New York Times
Au fil des
ans, l'observation de vaisseaux propulsés par une énergie
antigravitationnel, inconue à l'époque par la majorité
des pilotes eux-même, s'est faite de plus en plus fréquente.
Les témoignage publié par la presse et divulgués par
les média de l'époque, se seront multipliés, particulièrement
après la chute du IIIème Reich. La plupart d'entre eux faisaient
référence à des événements survenus
dans l'espace aérien nord-européen. Les nouvelles parlaient
aussi d'O.V.N.I.S, de fabrication Allemande.On avait observé de
nombreuses formation de ce que l'on appelait alors de "grandes fusées".
Ce sont les mots qui définissaient les "appareils volants inconnus
fabriqués par l'industrie de l'armement Allemande". Les témoignages
d'apparitions d'O.V.N.I.S survenues en Scandinavie furent particulièrement
nombreux. C'est dans cette région septentionale de l'Europe que
s'installèrent plusieurs puissantes garnisons Allemandes. Elles
y demeurèrent jusqu'à la fin de la guerre car elles furent
n'y attaquées, n'y vaincues par les Alliés. En 1947, réapparurent
quelques rapports isolés sur les sujet, mais ils n'eurent aucun
retentissement. Pourtant, quelques années plus tard, les observations
d'O.V.N.I.S ne cessèrent d'augmenter en nombre, en fréquence
et en varité. Quel secret cache tout cela ? Quel secrèt nous
cache-t'on ?
A gauche, document expliquent les différentes instrument de vol ; Au milieu, un des aérodrome ou étaits dévelloppés les OV.N.I.S du Reich ; A droite, 3 photos de la Haunebu I
L'énergie implosive : Une réussite écologique
De nos jour,
on spécule beaucoups sur la façon de découvrir et
d'utiliser des énergies alternatives qui en finiraient avec la destruction
de l'environement provoquée par la pollution, les gaz toxiques,
les résidus ect.. Il y'a 50 ans, on évoquait des tentatives
faites par les Allemands pour jeter les bases d'une "nouvelle science"
et maîtriser une "technique différente et rénovatrice"
grâce à laquelle on substiturait les moteur à explosion
(considérés comme destructeurs dans les milieux ésotériques
du IIIème Reich) par des moteur à implosion dont la nocivité
est nulle. Ces recherche se basaient principalement sur la lévitation
électro-gravitationnelle et la propulsion par des forces cosmico-tullurico-terrestres.
Ces dans ces forces que se trouverait les noyau de cette "autre technique"
qui différencia la "cosmovision" nationale-socialiste de celles
acceptées à l'époque. Le IIIème Reich essayait
de parvenir à une indépendance énergétique
totale, une autonomie en matières premières, impossibles
à réaliser par les moyen traditionnels. Cette énergie
devait être abondante, peu chère et non polluante. En fait,
d'après ce qu'affirme le mystèrieux rapport, "Les services
de recherche U-13 et E-4 des SS travaillaient fébrilement pour réaliser
et perféctionner ces technologies inconcevables pour le commun des
mortels, pour le reste de l'humanité". Un bon exemple de ce travail
serait illustré par les "toupies volante Haunebu" de Victor Schauberger,
non polluante et ne générant pas de bruits incommodants,
qui fonctionnaient grâce à une force de lévitation.
A gauche, Victor Schauberger ; A droite, les toutes première soucoupe du Reich, mises aux points par Schauberger
Les soucoupes volantes Haunebu
Ces soucoupes
volantes des différentes séries Haunebu (desquelles existent
des photos, à l'authenticité incontestée, prises par
les Alliées quand ils envahirent le territoire du Reich) ont un
intérêt particulier. Ces "toupies volantes" se déplaçaient
grâce à un propulseur électrogravitationnel couplé
à un générateur de faisceaux d'ondes de type Van Der
Graft, à un appareil magnétique produisant de l'énergie
à l'aide de charbon et à une dynamo conique de type Marconi.
Le dossier affirme que la conception des ces appareils, utilisant ces principes
de propulsion, est due à l'ingéniosité du capitaine
Allemand Hans Kohler. La fabrication en série, dès 1944,
était confiée à des usines des entreprises Seimens
et AEG.
A gauche, la Haunebu I ; Au milieu, la Haunebu II ; A droite, la Haunebu III
"Le propulseur
de Kohler avait besion pour être opérationnel, d'une énergie
initiale très faible, probablement fournie par un accumulateur électrique
qui l'activait. Puis, c'est le convertisseu au charbon, fonctionnant en
toute autonomie, qui prenait le relais. Il se transformait ainsi en un
générateur d'énergie qui jouait le rôle d'un
"catalyseur", ce qui implique que l'énergie fournie n'est le fruit
d'aucune matière consommable. Ce qui s'opérait est une transformation
des forces électrogravitationnelles terrestres en électricité
utilisable. C'est un principe géniale d'une simplicité totale,
lorsqu'on parvient à le maîtriser et l'utiliser correctement.
L'appareil volant Haunebu I possédait un canon de très grande
dimmension qui devait provoquer une impression inoubliable chez ceux qui
ont pu l'observer sans y être préparé ou sans savoir
ce dont il s'agissait. Il avait plus de 25m de diamètre et son axe
central atteignait les 10m de hauteut".
Ci-dessus, plan d'une Haunebu II (le cockpit n'est pas à l'echelle)
Des bombes en forme de disques
Le fait que
certains de ces engins de guerre Allemands aient une forme discoïdale
n'est un secret pour personne. C'est ainsi que, sous l'appellation V-4
(le grand public ne connaît que les V-1 et V-2) furent construits
plusieurs disques volants dans le but de les utiliser comme des "bombes
volantes". Les informations qui nous sont parvenues révèlent
que dès 1941, les études pour réaliser la "toupie
volante" de Schriever-Habermohl avaient abouti. Il s'agissait d'un avion
de forme circulaire, à décollage vertical, pourvu de moteur
à réaction conventionnels qui a éffectué ses
premiers vol d'essai à la fin de 1942. A cette occasion, de graves
erreurs de construction furent constatées. Parrallèlement,
et après une longue série de tentatives, l'ingénieur
Richard Mietbe commença à se consacrer (en 1942) à
la construction d'engin volants en forme de disque. Ses recherches réalisées
en colaboration avec le scientifique Italien Gluseppe Bellonzo, devait
donner naissance à une nouvelle version du V-7. Avec l'appui de
Führer lui même, les équipes "Miethe-Bellonzo" et "Schriever-Habermohl"
se rencontrèrent dans le but d'unir leurs efforts pour coordonner
leurs recherches respectives. Le résultat fut le premier, légendaire
et incroyable V-7, engin s'apparentant à un hélicopter ultrasonique
doté de 12 ensemble de type turbo BMW-028. Au cours de son premier
vol d'essai, il atteignit les 20.813m d'altitude, puis 24.200m au cours
du second vol en utilisant l'hélium comme combustible de base.
D'autre part, une autre "ligne" de soucoupes volantes, appelées
Vril était en train de se développer. C'est le groupe "Schauberger"
qui fut chargé, en étroite collaboration avec la section
E-4 des SS, spécialisée dans les "armes miraculeuses".
Nous savons aujourd'hui qu'ils parvinrent à construire 17 appareils
de type Vril 1.
Ci-dessus, la Vril 2
Leur diamètre
était de 11.56m et pouvaient atteindre la vitesse de 2.900km/h.
Ils étaient munis d'un canon téléguidé, dans
la version de combat. La série des Vril étaits l'équivalent
révolutionnaire d'un avion de chasse alors qui la série des
Haunebu s'apparentaient plus à des bombardiers. Curieusement, son
aspect paraît correspondre à celui de l'appareil vu sur la
Lune par l'astronaute Edwin Alridge.
Des bombes de feu qui bloquent les moteurs d'avion
L'énigmatique rapport révèle que, malgré l'imminence de la fin de la deuxième guerre mondiale, l'impssobilité de coordonner leurs travaux et l'epuisement des rescources, les nazis ne cesserent, à aucun moment de perfectionner leurs armes. En maîtrisant mieux la technologie de propulsion électrogravitationnelle, ils finirent par obtenir une plus grande vitesse, une plus grande maniabilité des appareils. Une phase intermédiaire de recherche vit se développer, dans la ville Allemande de Neustadt, sous le controle de troupes SS techniquement spécialisées, le projet Boule de feu que les Américains rebaptisèrent fort opportunément Foo-fighter (combattant total).
Ci-dessus, les fameuse Foo-fighter pendant la seconde guerre mondiale
Ces "boules
de feu" étaient guidées, grâce aux ondes radio, jusqu'aux
abords des formations aériennes Alliées. Puis les capteurs
d'ondes infrarouges, qui équipaient ces engins étaient chargés
du contacte final avec l'objet à détruire. Ce système
se basait sur la recherche de sources de chaleur créées par
les gaz d'échappement des avions ennemis. L'évolution postérieure
de ce projet devait amener la création de tubes spéciaux
dont la fonction était de décharger l'objectif à atteindre
de toute électricité, provoquant ainsi une défaillance
irréversible du moteur et une panne total et soudaine d'électricité.
Ce phénomène ressemble étrangement à celui
que l'on constate souvent lors de l'apparition d'O.V.N.I.S : les véhicules
à moteur s'arrêtent brusquement sans parvenir à redémarrer
tant que l'O.V.N.I est présent.
L'invasion extraterrestre et la conspiration O.V.N.I
Ces différents
appareils volèrent et furent utilisées. Mais continuent-ils
encore à être opérationnels ? Si nous les comparons
aux photographies d'O.V.N.I.S prises de nos jours dans divers lieux de
la planète observer une grande similitude entre ces dernières
et les engins construits par les nazis. Preuve en est qu'a l'occasion de
l'observation des premières soucoupes volantes au dessus de Prague,
au début de 1945, la presse associait complètement le phénomène
au nazis, en intitulant ainsi la nouvelle : Les disque volants inventés
en Allemagne. Peu de temps après, peut être condiyionnés
par la mode de la science-fiction ou pour d'autres obscures intentions,
les gouvernement et par conséquent, la presse, commencèrent
à spéculer sur le danger "d'invasion extraterrestre".
A gauche, raid d'O.V.N.I.S sur Los Angeles en 1950 ; A droite, le titre du journale de Los Angeles après le raide
Jimmy Carter,
lui même, à l'époque ou il était Président
des Etats-Unis déclara qu'il avait personnelement observé
des O.V.N.I. Dans certaines articles "scientifique", fut émise l'hypotèse
selon laquelle "le Président des Etats-Unis et le secrétaire
Général du parti Communiste d'Union Soviétique s'était
fort sérieusement entretenus de l'éventualité d'une
attaque massive d'OV.N.I.S", en traitent ces derniers comme s'il s'agissait
de vaisseaux en provonance de l'espace extérieur. Quelques années
plus tard, après que les rumeurs concernant les "visiteurs extraterrestres"
se furent étendues à toute la planète, la revue Américaine
Examiner reprenait la thèse des engins volants nazis dans un article
publié le 26 mai 1988 sous le titre "Les mystère des O.V.N.I.S
dévoilé !" Dans cet article, on pouvait lire : "Le mystère
entourant les O.V.N.I.S est résolu depuis longtemps. A-t-il seulement
existé ? Les extraterrestre sont en réalité des nazis
désireux de réédifier leur empire. Les gouvernements
du monde entier sont parfaitement au courant de cette affaire. Ils se taisent
et sont, en même temps terrorisés".
De vaisseaux nourriciers en forme de cigare
Certains rapports
sur les O.V.N.I.S mentionnent l'existence d'appareil gigentesques, en forme
de cigare qui auraient pu jouer le rôle de vaisseaux nourriciers
dans lesquels prendraient place les "disques volants". Ces énormes
vaisseaux suivaient plus lentement et à distance, les formations
d'engins volants. Selon les informations fournies par le rapport qui sert
de base à cet article, un projet, appelé Andromède,
avait pour objectif la construction d'un vaisseau nourricier. Cet engin
aurait été construit en 1944 et auri même pu exister
avant cette date. D'une longueur de 109m. Ces immenses aéronefs,
équipés de canons télescopiques, étaient propulsés
par les moteur couplé des Haunebu et des Vril et avaient une capacité
intérieur telle qu'elle permettait d'abriter un engin de type Haunebu
ou 4 petites Vril.
A gauche, le plan du projet Andromède ; A droite, le fameux vaisseau, il resemble à un vaste porte-avion volant
Ils pouvaient
décoller du vaisseau nourricier pendant que ce dernier était
en vol et y pénétrer par des écoutilles latérales
prévues à cet effet. Après la deuxième conflit
mondiale les Alliés firent une étonnante prise de guerre
: deux projets de construction d'engins du type Andromède.
Quand à leur réalisation matérielle, aucune preuve
convaincante n'a pu être avancée. Pourtant, même si
l'on ne possède aucun vestige de ceux-ci, de nombreuses observations
d'O.V.N.I.S permettent de supposer que de tels engins existent. Les photographies,
prises après-guerre de ces "cigares volants" sont abondantes.
Des extraterrestres qui parlent Allemand
Les clichés
d'une "soucoupe volante" pris par George Adamski en 1952, sur lesquels
on voit distinctement les symboles du Soleil Noir nazi, entraînèrent
l'adoptions de mesures urgentes et énergiques. Un document classé
top-secrèt par la CIA, divulgué grâce à un "infiltrés"
affirme que : "un réseau structuré d'information a été
mis en place au niveau mondiale ... et l'on a donné des ordres aux
principales bases aériennes millitaires sous notre commandement
pour localiser, intercepter et abattre les O.V.N.I.S ... Tout type d'informations,
ayant un rapport avec cette action, doit être soigneusement caché
au grand public afin d'éviter d'éventuelle panique génerale".
A partir de ce moment-là, toutes les photos de "disques volants"
seraient confisquées ou comme fausses. En outre, on programa parallèlement
une campagne destinée à atribuer une origine extraterrestre
aux O.V.N.I.S et à présenter les visites d'extraterrestres
comme étant chose "possible et normale". "Ainsi on éviterrait
de mettre en rolation les O.V.N.I.S et le IIIème Reich on minimiserait
de la sorte les risques de panique générale". Bien qu'il
existe d'immombrables recits fantaisistes et parfois même ridicules,
concernant les O.V.N.I.S ayant pour protagonistes de "Vénusiens"
des petits hommes verts ou de monstrueux êtres étranges, d'autre
témoignages, par contre devaient être considérés
plus sérieusement. C'est le cas de celui d'un négociant en
céréales Californien qui affirme avoir vu un O.V.N.I posé
au sol et entendu distinctement les occupants de cet étrange vaisseau
s'exprimer dans un Allemand parfais ... et non pas en langage martien ...
La réaction du gouvernement Américain, face à ces
révélation, fut immédiate : il essaya d'empêcher
leur diffusion. Bien qu'on ait pu vérifier que cet homme était
sincère et qu'il jouissait d'une santé mentale totalement
nomale, on l'éloigna de la vie publique en l'isolant dans une prison
pendant que les autorités s'évertuaient à faire disparaître
toute trace de certe apparition George Adamski ne subit pas le même
sort car il déclara avoir été "simplement" contacté
par des Vénusiens. et pourtant les dessins observés par Adamski
étaient, induscutablement, des croix gammées. Il les interpréta
comme des symboles universels et ancestraux en usage sur Vénus.
A gauche, George
Adamski et sa soucoupe "Vénusienne" qu'il a pris en photo ; A droite,
plan de la Haunebu II provenent des archive Allemande, la similitude est
surprenante
Expédition en Antarctique
La mystèrieuse
expédition effectuée par les Allemands en 1938 en Antarctique,
sous le commandement du capitaine Ritscher est un élément
qui conforte la thèse de l'origine de l'origine nazie de nombreux
O.V.N.I.S. Son objectif, autant scientifique que millitaire, consistait
surtout à s'approprier une zone de ce térritoire inhospitalier.
C'est ainsi que le nom du bateau transportant les hommes et le matériel
de l'exédition, le Neues Schwabenland (Nouvelle Souabe) fut donné
à une zone étendue de la côte Antarctique que tous
les gouvernements Allemands d'après-guerre n'ont cessé de
revendiquer. Des années plus tard, alors que la deuxième
guerre mondiale fesait rage, Dönitz, le grand amiral de la Kriegsmarine
(marine de guerre) du IIIème Reich, transmit un ordre mystérieux
aux "forces de réserve du dernier bataillon" de sous-marin chargées
de missions essentielles pour qu'elles accompllissent une tâche "spéciale
additionelle". Les instructions du grand amiral sans être codées,
étaient d'un laconisme tel que l'ont n'a jamais pu jusqu'à
aujourd'hui percer le secret de cette mission très particulière.
Il faut savoir qu'à cette époque la flotte sous-marine Allemande
était la plus performante et la plus perfectionnée du monde.
Nous savons avec certitude qu'ils construisirent des sous-marins antisonar
à propulsion électrique, démontables et très
rapides. Ils projetèrent même la construction de submersibles
de grandes dimensions, capables d'assurer le transport massif d'hommes,
de vivres, de munitions et de marchandises. Ils possédaient la technologie
néscessaire à la création de tels batiments. Le IIIème
Reich n'interrompit jamais le contact permanent qu'il maintenait avec le
Japon ou d'autres points de la planète. Mais quels étaient
les véritables objectifs, stratégiques et millitaires, de
cette puissance sous-marine ? Certains disent qu'ils n'avaient aucun rapport
avec la victoire sur l'énemie dans la guerre qui déchirait
le monde à la surface. Les documents récupérés
par les Alliés à la fin de la guerre concernant l'armée
sous-marine Allemande, font toujours l'objet d'une interdiction de consultation
sans justification. "Bien que, souligne le rapport, il y en aurais une
que les Alliés doivent connaître."
A gauche, un hydravion Allemand en Antarctique ; A droite, ilustration du "dernier convoie" pour l'Antarctique
Le mystèrieuse disparition des 100 sous-marin
La disparition
de près de 100 sous-marins Allemands ajoute une note mystérieuse
supplémentaire autour de cette affaire. Les Alliés ont bien
fait le compte des sous-marin qu'ils ont coulés mais le total
est loin de satisfaire les spécialistes en la matière. La
quantité de subermisibles qui se sont "volatillisés" sans
laisser de trace pourrait constituer une flotte importante. En outre, il
ne s'agit pas de sous-marins ordinnaires car une bonne partie d'entre eux
était du type U-21, des super sous-marin très perfectionnés
fabriqués juste avant la chute du IIIème Reich. Ces batiments
de type U-21 et U-23étaient très imposants mais étant
composés de modules, ils pouvaient être démontés
pour être transportés. Les énormes sous-marins marchands,
de type U-10 offraient de grandes facilités pour le transport des
modules servant à la construction des précédents.
La seul explication de ce mystère pourrait être fournie par
les réponses à de nouvelles questions : Les "sous-marins
fantomes" observés, de temps à autre dans les océans
depuis 1945 seraient-ils ces submersibles disparus ? Disposeraient-ils,
pour se cacher, de bases spéciales protégées et indétectables,
situées dans les glace polaires éternelles ? Heureusement,
il existe des photos qui permettent d'aprécier la ressemblance entre
un "sous-marin fantome" officiellement d'origine inconnue, et un sous-marin
Allemand de type U-23.
Un defaite inexplicable
Profitant d'un
bon climat hivernal dans l'Antarctique, en 1946, juste après la
fin de la guerre en Asie, une importante flotte Américaine, sous
le commandement de l'amiral Richard Byrd, se dirigea vers les terres du
pôle Sud. Cette expédition portait le nom de code High Jump
(saut en longueur). Après une méticuleuse et longue préparation,
le convoi parvint à destination en Février 1947. L'expédition
se termina précipitamment le 3 Mars de la même année.
Durant cette courte période, si l'on en croit des documents militaires,
plusieurs avions de combat ainsi que des Marines disparurent mystèrieusement.
Il n'y eut aucun commentaire de la part des autorités, mais il semble
que des forces inconnues rejetèrent la présence millitaire
et rendirent impossible leur installation. Après avoir soudainement
annulé l'expédition, l'amiral Byrd communiqua à la
presse un message extrêmement étrange et hors contexte :
A gauche, carte de l'Antarctique montrant les dernières positions nazies en 1946, elles semblent toujours en place à l'heure actuelle ; A droite, Richard Byrd
"C'est une
vérité très amère a admettre mais en cas de
nouveau conflit armé, nous pourrions être attaqués
par des avions cappables de voler à vitesse vertigineuse d'un Pôle
à l'autre. Il est urgent de prendre des mesures de défense
adéquates pour intercepter les avions ennemies en provenance des
régions polaires. Il serait particulièrement opportun de
circonscrire l'Antarctique dans un périmètre de défense
et de sécurité". En conclusion, on peut émettre l'hypotèse
que l'invasion du térritoire Antarctique Allemand, la Nouvelle Souabe,
était projetée par les Etats-Unis qui voulaient en faire
un butin de guerre. L'occupation de cette région, apparamment facile
à réaliser, connut d'un fracassant échec. Il serait
ridicule de croire qu'il pourrait s'agir de l'action de "pingouins assassins"
...
Les premiers vols spatiaux furent l'oeuvre des nazis
En 1958, fut
mise sur pied une nouvelle expédition Américaine en Antarctique,
mais cette fois-ci, elle transportait des armes terriblement efficaces.
Elle arrive à destination pendant l'obscur et froid été
polaire. En trois occasions, les 27 et 30 Août et le 9 Septembre,
furent lancé des missiles atomiques contre le territoire de Neus
Schwabenland. Mais ceux-cu n'atteignirent jamais la terre. Ils explosèrent
curieusement en plein vol quand ils parvinrent à la verticale de
la côte. Pour quel motif, de telles entreprises belliqueuses furent-elles
réalisés dans la zone Antarctique ? Pourquoi les a t'on entourées
d'un tel halo de mystère, de désinformation et de discrédit
? Un dernier fait révélateur pourrait éclairer cette
énigme : il existe un rapport Allemand fragmentaire et incomplet
faisant allusion à une "mission suicide" à bord de l'unique
Haunebu III que les Allemands parvenus à construire : il s'agit
d'un vol cers Mars ! L'Haunebu III avait un diamètre de 71m. On
calcula mathématiquement, que son autonomie, grâce à
une propulsion électrogravitationnelle, était de 75.274.000km,
c'est-à-dire la distance séparant la Terre de Mars. Le propulseur
électrogravitationnel, après avoir rempli son rôle,
devenait ensuite inopérant car, lentement, il s'agrégait
aux divers métaux utilisés pour sa construction. Un voyage
dans de telles conditions signifiait, par conséquent, un saut total
dans l'inconnu, et probablement sans espoir de retour pour l'équipage
composé d'Allemands et de Japonnais. C'est pourtant ce qui fut déscidé,
au sein de la section E-4 des SS, au printemps de 1945, bien que cela impliquât
un acte de sacrifice irréversible. D'après le dossier, le
vaisseau après avoir décollé, voyagea pendant 8 mois
et demi avant d'atteindre la surface de Mars, comme prévu, au milieu
de Janvier 1946. Apparemment, il n'y eut aucun problème durant le
voyage, mais il paraît évident qu'à cause du propulseur
pratiquement épuisé, de l'atmosphère Martienne extrêment
ténue et de l'attraction gravitationnelle, l'atterrissage du vaisseau
spatial n'a pas dû s'effectuer en douceur. Mais il n'y a aucune certitude
sur ce sujet. En effet, il suffisait d'une infime quantité d'énergie
pour contrecarrer la force de gravité relativement faible de la
planète rouges et éviter ainsi un attérissage brutal.
Quoi qu'il en soit, ce qui est certain c'est que nous ne pouvons que spéculer
sur cette entreprise pionnière si particulière et sur le
destin de ces premiers comonautes anonymes ... Et même si cette histoire
peut sembler incroyable et susceptible de déchaîner les passions
et les polémiques bien qu'il soit jalousement caché au gran
public . Y'a t'il une possibilité pour que l'équipage de
la Haunebu III ait trouvé quelque chose de plus que ce que les sondes
non habitées ont découvert pour nous ? Des vestiges de culture
ou même des abris souterrains habitables ? Il est totalement impossible
de le savoir, le plus probable, c'est que le vaisseau Haunebu III soit
enseveli sous plusieurs mètre de sable martien.
Y'a t'il des bases nazis sur la Lune ?
Le rapport
Viennois fais aussi référence à d'étranges
photographies d'O.V.N.I.S prises depuis les vaisseaux ..., à une
aéronef de type Haunebu III en provenance de la Lune, s'approchant
de la Terre ..., à une énorme et énigmatique lettre
"S" tracée sur le sol lunaire ... Pourrait-elle représenter
l'initiale du terme millitaire Allemand Stützepunkt qui signifie "point
d'appui" ? Peut-on qualifier tout cela de simples hallucinations alors
que nous sommes en présence d'un matériel photographique
neutre et infalsifible ? Le dossier se conclut sur une considération
évidente : ce sont des hypotèses difficiles à croire
et même à concevoir. Toutefois, si nous observons attentivement
et dans son ensemble la mosaïque des éléments et des
faits complémentaires, cet examen nous amène, logiquement
à réfléchir sur cette théorie dans son ensemble
et de nombreuses pièces isolées du puzzle peuvent se transformer
en preuvent irréfutables. C'est le cas, par exemple, des schémas
de soucoupes volantes Allemandes, extraits du tome 1 du livre Deutshe Flugscheiben
und U-boot überwachen die Weltmeere, de O.Bergmann (Edition Hugin
e.V.S, Postfach 13, 5802 Wetter 1, Allemagne).
Toutes trace effacées
On sait avec
certitude qu'en Mai 1945, touts les centre Allemands de recherche aéronautique
ont reçu l'odre d'Adolf Hitler de détruire toutes les preuves
concernant les projets et les armes secrètes qu'ils étaient
en train de mettre au point. A cette époque, les Allemand possèdaient
la fusée A-9, capable de mettre un astronaute en orbite (voir les
armes secrète de l'Axe, fusée V-2 EMW A4b) permanente autour
de la Terre. D'après une autre information, divulguée à
la fin de la deuxième guerre mondiale, la construction , dans les
ateliers souterrains de Breslau, de 4 prototypes de disque volants faisant
partie du programme Vergeltungswaffen (armes de représailles) était
très avancée. Dans les dernièrs sursauts de la guerre,
alors que les Russes avançaient sur le front de l'Est et que les
Anglo-Américains arrivaient par l'Ouest, pendant que Hitler, accompagné
de ses colaborateurs les plus proches, se réfugiait dans le bunker
Berlinois, on embarqua tout les plans et les prototypes secrets à
bord d'un sous-marin qui quitta Kiel pour une destination inconnue.
Acosta t'il au bout de son voyage dans une endroit secrète de l'Amérique
du sud ? Arriva t'il jusqu'en Antarctique ? Les travaux et les recherche
commencés à Breslau se poursuivirent-ils dans un lieu tenu
secret ? S'il en était ainsi, nous tiendrions la une explication
relative au O.V.N.I.S, dont les équipage étaient composés
d'hommes grand et blond, qui furent observés peu après la
fin de la deuxièmme guerre mondiale ... Bien sur, cela n'explique
pas toutes les apparitions d'O.V.N.I.S. Car déja, des textes évangéliques
parlaient de mystèrieuses roue de feu tournant dans les cieux et
tout au long de l'histoire humaine (Antiquité, Moyen-Age, Rennaissance,
Epoque industriele, Temps moderne, Epoque Atomique et Epoque Numérique),
on trouve d(innombrables récits sur les O.V.N.I.S comme on peut
le vérifié en lisant n'importe quel traité sur ce
sujet. Les O.V.N.I.S du IIIème Reich, pourraient expliquer une partie
des phénomène observés. On peut peut penser que les
technologies nazis ont coïncidé, dans une certaine mesure avec
la visite d'autres civilisations supérieures, extraterrestres ?
intraterrestres ? Ou bien que les nazis ont héritées de ces
civilisations.
On sait que
Hitler croayit au mythe de la Terre creuse qu'il essaiayit de créer
des contacte grâce à des communications soutérraines.
La conviction chaque fois plus affirmée qu'il existe un passage
au Pôle qui mènent à l'intérieur de la Terre
fais aussi penser au posibilité de la découverte de l'éxpédition
de Byrd et du pourquoi les nazis sont allées en Atarctique.
Ci-dessus, couverture de quelques magazines qui ont traité du sujet
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