http://lesmysteredelaww2.oldiblog.com/?page=articles&rub=286484&nba=1

Cette article est parue dans TOP SECRET N°9



 
 

L'arme ultime du IIIème Reich
 
 

Cet article détaille avec le plus de rigeur et d'honnêteté possible les technique antigravitationnelles Allemandes sous le régime nazi. Etant donné qu'il n'existe que très peu de documents et de photos de ces prototypes, certains de ces documents peuvent se révéler innexacte avec le temps et les déclassifications de document.
 
 

Ci-dessus, image rare d'une Haunebu I en couleur




Historique des techniques d'antigravité Nazies :

En 1922, la Thulé gesellshaft (société de Thulé), un groupe pré-nazi occulte, crée en son sein un groupe d'étude de l'antigravité, la Vril gesselshaft. Ils font voler de l'été 1922 à 1924 un démonstrateur antigravitationnel non piloté baptisé "Jenseintsflugmashine" (JFM) qui signifie "machine volante de l'autre côté". Par la suite, le démonstrateur sera démonté et stocké dans les usines Messerschmidt. Ce sytème antigravitationnel électromécanique, s'inspire largement des travaux théoriques de Nicolas Tesla et du physicien Allemand Levetzow ainsi que des théorie implosive de Shauberger. Le système comprend deux disque contra-rotatifs (diamètre 6.50m et 7m) encadrant un troisième disque fixe (diamètre 8m). Le trois disque sont percés en leur centre d'un orifice (diamètre 1.80m), occupé par un cylindre surmonté d'un cône (hauteur 2.40m) contenant le système de mise en rotation et des charge magnétique des disques. De 1922 à 1932, le système est simplifié et n'utilise plus qu'un seul disque.
 
 

Ci-dessus, la Jenseitsflugmaschine en 1922




Un apareil piloté utilisant ce disque sera testé en 1934 mais se révelera tellement catastrophique que ce système antigravitationnel mécanique sera définitivement abandonné la même année. Dès 1933, le nouveau régime nazi place  la Vril gesellshaft et ses travaux sous le contrôle directe de la SS de Himmler, à l'intérieur d'une section spéciale baptisée "Entvoklungsstelle IV" (groupe de dévellopement 4) ou SS-E-IV. Le docteur Walter.O. Schumann, un physicien de l'université de Munich et membre de la Vril gesellshaft, crée a Munich un premier groupe de travail placé sous la direction technique de l'ingénieure et capitaine SS Hans Kohler. Pour la construction des prototypes, Himmler met à la disposition de Schumann les moyens industriels du constructeur aéronautique Arado à Brandebourg. Le docteur Victor Shauberger, physicien et ingénieur travaillant pour la société autrichienne Koertl et enseignant à l'université de Vienne, rejoint la Vril gesellshaft en 1934. En juin 1934, un deuxième groupe de travail est créé à Neustadt près de Vienne et placé sous la direction de Shauberger. Leurs prototypes sont fabriqués par les usines Dornier. L'équipe de Shauberger comprend les ingénieurs aéronautiques Shriever et Habermohl, les ingénieurs spécialisés en électromagnétique Miethe et Belluzo, l'ingénieur spécialiste de la propulsion à réaction Andreas Epp et un physicien métallurgiste le docteur Erich Wang.
 
 

Ci-dessus, Hans Kholer




À partir de 1941 Shauberger est remplacé par Miethe à la tête du groupe de travail, et les laboratoires déménagent à Bresslau, les essais en vol ayant lieu à côté de Prague. Les équipes de Shauberger-Miethe et de Schumann-Kohler collaborent étroitement ensemble durant toute la guerre. L'équipe de Miethe s'oriente vers la construction de petits prototypes antigravitationnels alors que l'équipe de Schumann, qui a conçu un système antigravitationnel nettement plus performant, réalise des prototypes de grande taille. À la fin de la guerre, les Soviétiques ne captureront que quelques films d'essai des prototypes ainsi que les rapports techniques des archives de la SS à Berlin. Les Américains par contre mettront la main sur des plans originaux ainsi que de nombreuses pièces détachées en cours de fabrication et peut-être même, si l'on en croit certains témoignages, sur un prototype complet du modèle Haunebu 2.
 
 

Ci-dessus, le rapport top secret des moyen Nazi a la fin de la guerre. Le titre laisse rêveur




L'équipe de Miethe travaillera pour les Américains et les Canadiens après la guerre, l'équipe de Schumann quant à elle ne travaillant que pour les États-Unis. Shriever et Miethe conseilleront même la société De Havilland au Canada pour la construction d'une copie du V7 Kugelblitz qui ne fonctionnera jamais correctement. Les Anglais captureront aussi de nombreux plans de prototypes antigravitationnels mais se révéleront incapables d'en comprendre le fonctionnement. Les Américains devront attendre les années 80 pour enfin maîtriser à nouveau ces techniques allemandes. Cela est dû au fait que les physiciens militaires anglo-saxons mirent trente ans à admettre que leur physique était incomplète et que les théories négentropiques permettant de maîtriser l'antigravité étaient justes.

 Les "Haunebu" de Schumann et Kohler: Début 1934, Schumann construit avec Arado un démonstrateur antigravitationnel piloté utilisant le disque de la Vril gesellshaft. Le prototype est baptisé Rundflugzeug 1 (machine volante circulaire) ou RFZ 1. Lors de son unique vol en juin 1934 sur la base d'essai d'Arado à Brandebourg, l'engin s'élève à 60 mètres puis oscille durant quelques minutes avant que le pilote d'essai Lothar Waiz, effrayé, ne pose en catastrophe l'appareil au sol. Le pilote a juste le temps de sauter de l'appareil avant que celui-ci, qui continue à tourner comme une toupie, n'éclate en morceaux. Quoi qu'il n'existe aucune photo ou illustration de cet appareil, celui-ci ressemble énormément au prototype de Ottis Carr ('un disciple de Nicolas Tesla) conçu dans les années 60. Après avoir collaboré à des recherches fondamentales avec l'équipe de Shauberger, l'équipe de Schumann fait voler en août 1943 le "Haunebu 1". D'une hauteur de 8 m 50 et d'un diamètre de 25 mètres il peut emmener un équipage de huit hommes. Dès 1943 il atteint la vitesse de 4800 km/h dans la basse atmosphère et était supposé pouvoir atteindre 17 000 km/h. Il a une autonomie de 18 heures de vol. Il est équipé sur sa partie inférieure d'une tourelle canon dont nul ne sait s'il s'agissait d'un canon double classique de 7,5 mm ou d'un canon électromagnétique. Plusieurs résonateurs annulaires furent testés avec des diamètres variant de 25 à 32 mètres.


Ci-dessus, dessous de la Haunbu I
  Le deuxième prototype, baptisé Haunebu 2, vole pour la première fois en décembre 1944. D'un diamètre de 26 m 30 il emmène un équipage de 9 hommes pour une autonomie de 55 h. Lors de ses 106 vols d'essai il atteint couramment la vitesse de 6000 km/h dans la basse atmosphère et était supposé pouvoir atteindre 21 000 km/h. Sa propulsion est assurée par un Lévitator de Schumann, et pour la première fois le pilotage est assuré par le Tachyonator de Kohler (les trois boules sous l'engin). Si l'on en croit les témoignages il semble que la firme Dornier ait fabriqué sept prototypes Haunebu 2. L'appareil fut aussi baptisé Dostra (DOrnierSTRAtosphérique). De nombreuses sources affirment que Schumann aurait achevé en 1945 le prototype du Haunebu 3 de 71 mètres de diamètre et capable de voler entre 7000 km/h et 40 000 km/h. Il aurait eu une autonomie de huit semaines de vol avec un équipage de 32 hommes. Il aurait effectué 19 vols d'essai avant la capitulation. S'il est établi que les plans de cet appareil ont bien été étudiés, rien ne prouve qu'il ait jamais été construit.

Ci-dessus, reconstitution de la Haunebu III en vol
  En 1945 l'équipe de Schumann avait achevé les plans d'un prototype en forme de cigare de 139 mètres de long baptisé Androméda. Il s'agit d'une sorte de porte-avions capable en théorie d'emmener un Haunebu 2 de Schumann et quatre Vrils de Shauberger. Quoi qu'on affirme souvent qu'il a volé, l'auteur quant à lui est persuadé que l'Androméda n'a jamais dépassé la planche à dessin ! Les V7 et les Vril de Shauberger et Miethe

En 1940 l'équipe de Shauberger et Miethe se voit confier deux programmes différents : le premier baptisé V7 (arme de vengeance nº 7) est un disque propulsé par des réacteurs de Shauberger, le deuxième baptisé Vril est une série de six prototypes antigravitationnels monoplaces. En 1940 l'équipe de Shauberger construits et fait voler un démonstrateur à aile circulaire, propulsé par une fusée au peroxyde d'hydrogène, qui se révélera décevant et sera vite abandonné. Parallèlement Shauberger achève la mise au point de ses réacteurs à tornade qu'il baptise Repulsme. En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction du premier V7 qui effectue ses premiers vols stationnaires près de Prague en décembre 1942 sous le nom de V7 FlugKreisel. D'une hauteur de 3 m 20 et d'un diamètre de 14 m 40 l'appareil est propulsé par cinq réacteurs à tornade de Shauberger, deux d'entre eux assurant la translation horizontale les trois autres entraînant un rotor à pas variable permettant le décollage vertical et la sustentation. Le FlugKreisel n'effectuera que des vols de courte durée entre 1943 et fin 44 sans jamais dépasser quelques centaines de km/h. En 1952, Shriever présentera à la presse allemande le FlugKreisel. Fin 1944 le V7 définitif est construit et vole le 19 février 1945 sous son nom définitif de V7 Kugelblitz, il a la même taille que son prédécesseur. Il s'agit d'une version profondément modifiée du FlugKreisel où les pales du rotor n'ont plus de dièdre (inclinaison vers le haut) et les réservoirs ainsi que les deux réacteurs de propulsion sont fixés dans une structure annuaire entourant l'habitacle. Le pilote quant à lui est allongé à plat ventre dans une bulle de plexiglas permettant la vision aussi bien au-dessus de l'appareil qu'en dessous.
 
 

Ci-dessus, plan de la V-7




En avril 1945 l'appareil effectue au-dessus de la France et de l'Allemagne quelques attaques réussies contre des formations de bombardiers américains. Sa tactique consiste à passer devant les bombardiers à une vitesse de 2200 km/h en lâchant un nuage d'un mélange de 50 % de butane et de 50 % de propane. Lorsque les bombardiers traversent ce nuage leurs pots d'échappement enflamment le mélange, provoquant l'explosion de la formation de bombardier. Des rapports secrets de l'Army Air Force de 1945 montrent que cette arme a littéralement affolé le commandement allié. Parallèlement la série des Vril antigravitationnels est développée. Le Vril 1 vole en automne 1941, il atteint une vitesse de 2900 km/h pour une autonomie de 5 h et n'emmène qu'un pilote. D'un diamètre de 11 m 56 il porte une petite tourelle de mitrailleuse sur sa partie inférieure est un cockpit en plexiglas sur sa partie supérieure.
 
 

A gauche, la Vril 1 ; A droite, la Vril 1 sur une base Américaine




Ultérieurement, le cockpit en plexiglas sera remplacé par un habitacle pressurisé métallique surmonté d'une petite bulle de plexiglas. Une version plus puissante du Vril 1 vole en automne 42 sous le nom de Vril 2, de même diamètre que le Vril 1 le Vril 2 vole à plus de 6000 km/h. Le Vril 3 vole en 1943 et n'est qu'une évolution du Vril 2 muni d'un canon de 7,5 mm sur le cockpit. Le Vril 4 quant à lui comprend un tube au-dessus du cockpit dont l'auteur ignore complètement l'utilité et n'est qu'une variante des Vrils 2 et 3. Le Vril 5 est probablement le prototype le plus abouti de l'équipe de Shauberger. Dès ses premiers vols en 1944 il atteint la vitesse de 12 000 km/h, et il semble même qu'il ait quitté l'atmosphère à plusieurs reprises ! Le Vril 6 ne sera jamais construit, quant au Vril 7 il s'agissait d'un projet de vaisseau géant de 120 mètres de diamètre qui resta à l'état de plan.
 
 

Conclusion :
 
 

Pour l'auteur, il ne fait aucun doute que les Allemands ont maitrisé l'antigravitation dès 1941 et qu'au moins trois prototypes ont volé. Si aucun travail d'historien ne mentionne ces réalisations, c'est tout simplement parce que les alliés ont fait de ces recherche le plus grand secret de tout les temps, secret infiniment mieux protégé que celui de la bombe atomique. L'arme ultime du IIIème Reich est bien désormais le secret ultime des Américain
 
 

Ci-dessus, O.V.N.I construit pas les Anglais dans les années 60, cela donne une idée du redévlopement des OV.N.I nazis

************************

http://lesmysteredelaww2.oldiblog.com/?page=articles&rub=286484&nba=2

Cette article est parue dans le défunt magazine Incroyable et scientifique



 
 

Les O.V.N.I.S de Hitler
 
 

Les O.V.N.I.S que l'on a pu observer dans le monde entier, au cours des 50 dernières années sont-ils des armes secrètes fabriquées par le IIIème  Reich ? C'est ce qui ressort, tout au moins d'un mystèrieux rapport envoyé à l'auteur de ce reportage. On y découvre que les étranges objets volants, vus dans le ciel depuis 1945, sont en réalité des aéronefs crées, à l'époque par les nazis et améliorés depuis lors dans des bases secrètes.
 
 




Ce que vous allez lire, amies lecteurs provient d'un dossier très documenté qui m'a été envoyé  de Vienne, en Autriche, sous la forme de bande magnétique sonore, texte écrit et vidéo en Allemand. Quand à l'identité de celui qui a vécu ces faits et l'époque à laquelle ils se sont déroulés, je dois confesser qu'ils continuent à être une enigme pour moi :
 
 

Ci-dessus, couverture d'un livre sur les O.V.N.I des nazis




"Samedi, au crépuscule, ciel sombre. Un nef spatiale s'approche à faible allure. Ses dimensions : plus petites que celles d'un planeur. Elle émet un son qui mèle souffle et sifflement. Elle vient vers moi et me survole. Sa partie inférieure présente 3 coupes semi-sphériques et un point bleu foncé. J'arrive aussi à distinguer une svastika (croix gammée). Le vaisseau est d'aspect compacte et provoque en moi une sensation incroyable, étrange et angoissante. Les alentours, desert sont occupés par des usines désaffectées. L'étrange appareil descend et atterrit derrière un mur. La lumière du couchant est ténue mais toutefois assez forte pour me permettre d'observer en détail les trois coupes inférieures posées sur trois cylindres destinés à les recevoir. Puis, un camion-grue s'approche  pour effectuer une maneuvre que je ne peux discerner. Je vois seulement deux êtres humains : l'un sous l'appreil, et l'autre, juché au sommet. Rapidement, ce dernièr disparaît totalement de ma vue. L'engin na n'y fenêtre, ni hublot. Sur ses flancs, je ne vois que deuux petits orifices grillagés, apparamment sans vitres.
 
 

Ci-dessus, la soucoupe observer par notre témoin. D'après sa déscription, il s'agirait d'un Vril 5




Le disque volant est entoré d'étrange plaque métalliques en forme de pales de turbine, qui n'en sont sûrment pas. Aussi bien que sur les 3 coupes inférieurs que sur la partie supérieure de l'aéronef, se trouvent des structures tubulaires saillantes qui pourraient  être des echappements ou des geules de canon (car elles sont trops grosses pour des antennes).J'estime que cette appareil doit avoir un diamètre compris entre 15 et 20 mètres. Il y'a aussi, sur les lieux, une automobile de marque NSU. Immatricullée dans la ville de Solingen et une volskwagen de couleur verte. C'est tout ce que j'ai vu et lorsque je me suis approché de plus près, l'appareil a décollé et pris de la hauteur. Quelques jours plus tard, de nombreuse personnes ont affirmé avoir vu des O.V.N.I dans cette partie de la Bavière. Je crois qu'il s'agit du même appareil ou d'engin semblable. Plus tard, l'employé d'un garage me raconta avoir vu la même chose que moi. Les gens qui entendaient son réçit se moquaient de lui, tant et si bien qu'il fini par se rétracter et déclarer que tout cela n'était qu'une plaisenterie. Mais en réalité, d'après ses dires, nous avons vécu le même événement énigmatique et troublant."
 
 

La première "infos" sur les O.V.N.I

Tout ceci n'est peut être qu'un témoignage , parmi tant d'autres, sur les OV.N.I mais à la lumière des données contenues dans le rapport et dont la documentation m'a permis d'élaborer cet arcticle, il revêt une importance particulière. Comme nous le verrons, toujours d'après la même source d'information il existe de singulières coïncidences entre la premières observations de "soucoupes volantes" et la fabrication d'armes secrètes par les nazis à la fin de la deuxième guerre mondiale. Ces mêmes coïncidences pourraient fournir une explications à l'experience de l'informateur anonyme. Je dirais, pour commencer, que le 14 décembre 1944 (6 mois avant la reddition des Allemands.) le prestigieux quotidien Américain, le New York Times publiait , en ces termes, la première nouvelle de ce siècle concernant des O.V.N.I : "Les soucoupes volantes sont des armes secretes. Une nouvelle arme Allemande a fait son apparition sur le front occidentale. Les pilote de l'US air force rapportent que des boules d'argent survolent l'Allemagne parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent être totalement transparentes."
 
 

Ci-dessus, l'article en question du New York Times




Au fil des ans, l'observation de vaisseaux propulsés par une énergie antigravitationnel, inconue à l'époque par la majorité des pilotes eux-même, s'est faite de plus en plus fréquente. Les témoignage publié par la presse et divulgués par les média de l'époque, se seront multipliés, particulièrement après la chute du IIIème Reich. La plupart d'entre eux faisaient référence à des événements survenus dans l'espace aérien nord-européen. Les nouvelles parlaient aussi d'O.V.N.I.S, de fabrication Allemande.On avait observé de nombreuses formation de ce que l'on appelait alors de "grandes fusées". Ce sont les mots qui définissaient les "appareils volants inconnus fabriqués par l'industrie de l'armement Allemande". Les témoignages d'apparitions d'O.V.N.I.S survenues en Scandinavie furent particulièrement nombreux. C'est dans cette région septentionale de l'Europe que s'installèrent plusieurs puissantes garnisons Allemandes. Elles y demeurèrent jusqu'à la fin de la guerre car elles furent n'y attaquées, n'y vaincues par les Alliés. En 1947, réapparurent quelques rapports isolés sur les sujet, mais ils n'eurent aucun retentissement. Pourtant, quelques années plus tard, les observations d'O.V.N.I.S ne cessèrent d'augmenter en nombre, en fréquence et en varité. Quel secret cache tout cela ? Quel secrèt nous cache-t'on ?
 
 

A gauche, document expliquent les différentes instrument de vol ; Au milieu, un des aérodrome ou étaits dévelloppés les OV.N.I.S du Reich ; A droite, 3 photos de la Haunebu I




L'énergie implosive : Une réussite écologique

De nos jour, on spécule beaucoups sur la façon de découvrir et d'utiliser des énergies alternatives qui en finiraient avec la destruction de l'environement provoquée par la pollution, les gaz toxiques, les résidus ect.. Il y'a 50 ans, on évoquait des tentatives faites par les Allemands pour jeter les bases d'une "nouvelle science" et maîtriser une "technique différente et rénovatrice" grâce à laquelle on substiturait les moteur à explosion (considérés comme destructeurs dans les milieux ésotériques du IIIème Reich) par des moteur à implosion dont la nocivité est nulle. Ces recherche se basaient principalement sur la lévitation électro-gravitationnelle et la propulsion par des forces cosmico-tullurico-terrestres. Ces dans ces forces que se trouverait les noyau de cette "autre technique" qui différencia la "cosmovision" nationale-socialiste de celles acceptées à l'époque. Le IIIème Reich essayait de parvenir à une indépendance énergétique totale, une autonomie en matières premières, impossibles à réaliser par les moyen traditionnels. Cette énergie devait être abondante, peu chère et non polluante. En fait, d'après ce qu'affirme le mystèrieux rapport, "Les services de recherche U-13 et E-4 des SS travaillaient fébrilement pour réaliser et perféctionner ces technologies inconcevables pour le commun des mortels, pour le reste de l'humanité". Un bon exemple de ce travail serait illustré par les "toupies volante Haunebu" de Victor Schauberger, non polluante et ne générant pas de bruits incommodants, qui fonctionnaient grâce à une force de lévitation.
 
 

A gauche, Victor Schauberger ; A droite, les toutes première soucoupe du Reich, mises aux points par Schauberger




Les soucoupes volantes Haunebu

Ces soucoupes volantes des différentes séries Haunebu (desquelles existent des photos, à l'authenticité incontestée, prises par les Alliées quand ils envahirent le territoire du Reich) ont un intérêt particulier. Ces "toupies volantes" se déplaçaient grâce à un propulseur électrogravitationnel couplé à un générateur de faisceaux d'ondes de type Van Der Graft, à un appareil magnétique produisant de l'énergie à l'aide de charbon et à une dynamo conique de type Marconi. Le dossier affirme que la conception des ces appareils, utilisant ces principes de propulsion, est due à l'ingéniosité du capitaine Allemand Hans Kohler. La fabrication en série, dès 1944, était confiée à des usines des entreprises Seimens et AEG.
 
 

A gauche, la Haunebu I ; Au milieu, la Haunebu II ; A droite, la Haunebu III




"Le propulseur de Kohler avait besion pour être opérationnel, d'une énergie initiale très faible, probablement fournie par un accumulateur électrique qui l'activait. Puis, c'est le convertisseu au charbon, fonctionnant en toute autonomie, qui prenait le relais. Il se transformait ainsi en un générateur d'énergie qui jouait le rôle d'un "catalyseur", ce qui implique que l'énergie fournie n'est le fruit d'aucune matière consommable. Ce qui s'opérait est une transformation des forces électrogravitationnelles terrestres en électricité utilisable. C'est un principe géniale d'une simplicité totale, lorsqu'on parvient à le maîtriser et l'utiliser correctement. L'appareil volant Haunebu I possédait un canon de très grande dimmension qui devait provoquer une impression inoubliable chez ceux qui ont pu l'observer sans y être préparé ou sans savoir ce dont il s'agissait. Il avait plus de 25m de diamètre et son axe central atteignait les 10m de hauteut".
 
 

Ci-dessus, plan d'une Haunebu II (le cockpit n'est pas à l'echelle)




Des bombes en forme de disques

Le fait que certains de ces engins de guerre Allemands aient une forme discoïdale n'est un secret pour personne. C'est ainsi que, sous l'appellation V-4 (le grand public ne connaît que les V-1 et V-2) furent construits plusieurs disques volants dans le but de les utiliser comme des "bombes volantes". Les informations qui nous sont parvenues révèlent que dès 1941, les études pour réaliser la "toupie volante" de Schriever-Habermohl avaient abouti. Il s'agissait d'un avion de forme circulaire, à décollage vertical, pourvu de moteur à réaction conventionnels qui a éffectué ses premiers vol d'essai à la fin de 1942. A cette occasion, de graves erreurs de construction furent constatées. Parrallèlement, et après une longue série de tentatives, l'ingénieur Richard Mietbe commença à se consacrer (en 1942) à la construction d'engin volants en forme de disque. Ses recherches réalisées en colaboration avec le scientifique Italien Gluseppe Bellonzo, devait donner naissance à une nouvelle version du V-7. Avec l'appui de Führer lui même, les équipes "Miethe-Bellonzo" et "Schriever-Habermohl" se rencontrèrent dans le but d'unir leurs efforts pour coordonner leurs recherches respectives. Le résultat fut le premier, légendaire et incroyable V-7, engin s'apparentant à un hélicopter ultrasonique doté de 12 ensemble de type turbo BMW-028. Au cours de son premier vol d'essai, il atteignit les 20.813m d'altitude, puis 24.200m au cours du second  vol en utilisant l'hélium comme combustible de base. D'autre part, une autre "ligne" de soucoupes volantes, appelées Vril était en train de se développer. C'est le groupe "Schauberger" qui fut chargé, en étroite collaboration avec la section E-4 des SS, spécialisée dans les "armes miraculeuses".  Nous savons aujourd'hui qu'ils parvinrent à construire 17 appareils de type Vril 1.
 
 

Ci-dessus, la Vril 2




Leur diamètre était de 11.56m et pouvaient atteindre la vitesse de 2.900km/h. Ils étaient munis d'un canon téléguidé, dans la version de combat. La série des Vril étaits l'équivalent révolutionnaire d'un avion de chasse alors qui la série des Haunebu s'apparentaient plus à des bombardiers. Curieusement, son aspect paraît correspondre à celui de l'appareil vu sur la Lune par l'astronaute Edwin Alridge.
 
 

Des bombes de feu qui bloquent les moteurs d'avion

L'énigmatique rapport révèle que, malgré l'imminence de la fin de la deuxième guerre mondiale, l'impssobilité de coordonner leurs travaux et l'epuisement des rescources, les nazis  ne cesserent, à aucun moment de perfectionner leurs armes. En maîtrisant mieux la technologie de propulsion électrogravitationnelle, ils finirent par obtenir une plus grande vitesse, une plus grande maniabilité des appareils. Une phase intermédiaire de recherche vit se développer, dans la ville Allemande de Neustadt, sous le controle de troupes SS techniquement spécialisées, le projet Boule de feu que les Américains rebaptisèrent fort opportunément Foo-fighter (combattant total).

Ci-dessus, les fameuse Foo-fighter pendant la seconde guerre mondiale




Ces "boules de feu" étaient guidées, grâce aux ondes radio, jusqu'aux abords des formations aériennes Alliées. Puis les capteurs d'ondes infrarouges, qui équipaient ces engins étaient chargés du contacte final avec l'objet à détruire. Ce système se basait sur la recherche de sources de chaleur créées par les gaz d'échappement des avions ennemis. L'évolution postérieure de ce projet devait amener la création de tubes spéciaux dont la fonction était de décharger l'objectif à atteindre de toute électricité, provoquant ainsi une défaillance irréversible du moteur et une panne total et soudaine d'électricité. Ce phénomène ressemble étrangement à celui que l'on constate souvent lors de l'apparition d'O.V.N.I.S : les véhicules à moteur s'arrêtent brusquement sans parvenir à redémarrer tant que l'O.V.N.I est présent.
 
 

L'invasion extraterrestre et la conspiration O.V.N.I

Ces différents appareils volèrent et furent utilisées. Mais continuent-ils encore à être opérationnels ? Si nous les comparons aux photographies d'O.V.N.I.S prises de nos jours dans divers lieux de la planète observer une grande similitude entre ces dernières et les engins construits par les nazis. Preuve en est qu'a l'occasion de l'observation des premières soucoupes volantes au dessus de Prague, au début de 1945, la presse associait complètement le phénomène au nazis, en intitulant ainsi la nouvelle : Les disque volants inventés en Allemagne. Peu de temps après, peut être condiyionnés par la mode de la science-fiction ou pour d'autres obscures intentions, les gouvernement et par conséquent, la presse, commencèrent à spéculer sur le danger "d'invasion extraterrestre".
 
 

A gauche, raid d'O.V.N.I.S sur Los Angeles en 1950 ; A droite, le titre du journale de Los Angeles après le raide




Jimmy Carter, lui même, à l'époque ou il était Président des Etats-Unis déclara qu'il avait personnelement observé des O.V.N.I. Dans certaines articles "scientifique", fut émise l'hypotèse selon laquelle "le Président des Etats-Unis et le secrétaire Général du parti Communiste d'Union Soviétique s'était fort sérieusement entretenus de l'éventualité d'une attaque massive d'OV.N.I.S", en traitent ces derniers comme s'il s'agissait de vaisseaux en provonance de l'espace extérieur. Quelques années plus tard, après que les rumeurs concernant les "visiteurs extraterrestres" se furent étendues à toute la planète, la revue Américaine Examiner reprenait la thèse des engins volants nazis dans un article publié le 26 mai 1988 sous le titre "Les mystère des O.V.N.I.S dévoilé !" Dans cet article, on pouvait lire : "Le mystère entourant les O.V.N.I.S est résolu depuis longtemps. A-t-il seulement existé ? Les extraterrestre sont en réalité des nazis désireux de réédifier leur empire. Les gouvernements du monde entier sont parfaitement au courant de cette affaire. Ils se taisent et sont, en même temps terrorisés".
 
 

De vaisseaux nourriciers en forme de cigare

Certains rapports sur les O.V.N.I.S mentionnent l'existence d'appareil gigentesques, en forme de cigare qui auraient pu jouer le rôle de vaisseaux nourriciers dans lesquels prendraient place les "disques volants". Ces énormes vaisseaux suivaient plus lentement et à distance, les formations d'engins volants. Selon les informations fournies par le rapport qui sert de base à cet article, un projet, appelé Andromède, avait pour objectif la construction d'un vaisseau nourricier. Cet engin aurait été construit en 1944 et auri même pu exister avant cette date. D'une longueur de 109m. Ces immenses aéronefs, équipés de canons télescopiques, étaient propulsés par les moteur couplé des Haunebu et des Vril et avaient une capacité intérieur telle qu'elle permettait d'abriter un engin de type Haunebu ou 4 petites Vril.
 
 

A gauche, le plan du projet Andromède ; A droite, le fameux vaisseau, il resemble à un vaste porte-avion volant




Ils pouvaient décoller du vaisseau nourricier pendant que ce dernier était en vol et y pénétrer par des écoutilles latérales prévues à cet effet. Après la deuxième conflit mondiale les Alliés firent une étonnante prise de guerre : deux projets de construction d'engins du type Andromède.  Quand à leur réalisation matérielle, aucune preuve convaincante n'a pu être avancée. Pourtant, même si l'on ne possède aucun vestige de ceux-ci, de nombreuses observations d'O.V.N.I.S permettent de supposer que de tels engins existent. Les photographies, prises après-guerre de ces "cigares volants" sont abondantes.
 
 

Des extraterrestres qui parlent Allemand

Les clichés d'une "soucoupe volante" pris par George Adamski en 1952, sur lesquels on voit distinctement les symboles du Soleil Noir nazi, entraînèrent l'adoptions de mesures urgentes et énergiques. Un document classé top-secrèt par la CIA, divulgué grâce à un "infiltrés" affirme que : "un réseau structuré d'information a été mis en place au niveau mondiale ... et l'on a donné des ordres aux principales bases aériennes millitaires sous notre commandement pour localiser, intercepter et abattre les O.V.N.I.S ... Tout type d'informations, ayant un rapport avec cette action, doit être soigneusement caché au grand public afin d'éviter d'éventuelle panique génerale". A partir de ce moment-là, toutes les photos de "disques volants" seraient confisquées ou comme fausses. En outre, on programa parallèlement une campagne destinée à atribuer une origine extraterrestre aux O.V.N.I.S et à présenter les visites d'extraterrestres comme étant chose "possible et normale". "Ainsi on éviterrait de mettre en rolation les O.V.N.I.S et le IIIème Reich on minimiserait de la sorte les risques de panique générale". Bien qu'il existe d'immombrables recits fantaisistes et parfois même ridicules, concernant les O.V.N.I.S ayant pour protagonistes de "Vénusiens" des petits hommes verts ou de monstrueux êtres étranges, d'autre témoignages, par contre devaient être considérés plus sérieusement. C'est le cas de celui d'un négociant en céréales Californien qui affirme avoir vu un O.V.N.I posé au sol et entendu distinctement les occupants de cet étrange vaisseau s'exprimer dans un Allemand parfais ... et non pas en langage martien ... La réaction du gouvernement Américain, face à ces révélation, fut immédiate : il essaya d'empêcher leur diffusion. Bien qu'on ait pu vérifier que cet homme était sincère et qu'il jouissait d'une santé mentale totalement nomale, on l'éloigna de la vie publique en l'isolant dans une prison pendant que les autorités s'évertuaient à faire disparaître toute trace de certe apparition George Adamski ne subit pas le même sort car il déclara avoir été "simplement" contacté par des Vénusiens. et pourtant les dessins observés par Adamski étaient, induscutablement, des croix gammées. Il les interpréta comme des symboles universels et ancestraux en usage sur Vénus.
 
 

A gauche, George Adamski et sa soucoupe "Vénusienne" qu'il a pris en photo ; A droite, plan de la Haunebu II provenent des archive Allemande, la similitude est surprenante
 
 

Expédition en Antarctique

La mystèrieuse expédition effectuée par les Allemands en 1938 en Antarctique, sous le commandement du capitaine Ritscher est un élément qui conforte la thèse de l'origine de l'origine nazie de nombreux O.V.N.I.S. Son objectif, autant scientifique que millitaire, consistait surtout à s'approprier une zone de ce térritoire inhospitalier. C'est ainsi que le nom du bateau transportant les hommes et le matériel de l'exédition, le Neues Schwabenland (Nouvelle Souabe) fut donné à une zone étendue de la côte Antarctique que tous les gouvernements Allemands d'après-guerre n'ont cessé de revendiquer. Des années plus tard, alors que la deuxième guerre mondiale fesait rage, Dönitz, le grand amiral de la Kriegsmarine (marine de guerre) du IIIème Reich, transmit un ordre mystérieux aux "forces de réserve du dernier bataillon" de sous-marin chargées de missions essentielles pour qu'elles accompllissent une tâche "spéciale additionelle". Les instructions du grand amiral sans être codées, étaient d'un laconisme tel que l'ont n'a jamais pu jusqu'à aujourd'hui percer le secret de cette mission très particulière. Il faut savoir qu'à cette époque la flotte sous-marine Allemande était la plus performante et la plus perfectionnée du monde. Nous savons avec certitude qu'ils construisirent des sous-marins antisonar à propulsion électrique, démontables et très rapides. Ils projetèrent même la construction de submersibles de grandes dimensions, capables d'assurer le transport massif d'hommes, de vivres, de munitions et de marchandises. Ils possédaient la technologie néscessaire à la création de tels batiments. Le IIIème Reich n'interrompit jamais le contact permanent qu'il maintenait avec le Japon ou d'autres points de la planète. Mais quels étaient les véritables objectifs, stratégiques et millitaires, de cette puissance sous-marine ? Certains disent qu'ils n'avaient aucun rapport avec la victoire sur l'énemie dans la guerre qui déchirait le monde à la surface. Les documents récupérés par les Alliés à la fin de la guerre concernant l'armée sous-marine Allemande, font toujours l'objet d'une interdiction de consultation sans justification. "Bien que, souligne le rapport, il y en aurais une que les Alliés doivent connaître."
 
 

A gauche, un hydravion Allemand en Antarctique ; A droite, ilustration du "dernier convoie" pour l'Antarctique




Le mystèrieuse disparition des 100 sous-marin

La disparition de près de 100 sous-marins Allemands ajoute une note mystérieuse supplémentaire autour de cette affaire. Les Alliés ont bien fait le compte  des sous-marin qu'ils ont coulés mais le total est loin de satisfaire les spécialistes en la matière. La quantité de subermisibles qui se sont "volatillisés" sans laisser de trace pourrait constituer une flotte importante. En outre, il ne s'agit pas de sous-marins ordinnaires car une bonne partie d'entre eux était du type U-21, des super sous-marin très perfectionnés fabriqués juste avant la chute du IIIème Reich. Ces batiments de type U-21 et U-23étaient très imposants mais étant composés de modules, ils pouvaient être démontés pour être transportés. Les énormes sous-marins marchands, de type U-10 offraient de grandes facilités pour le transport des modules servant à la construction des précédents. La seul explication de ce mystère pourrait être fournie par les réponses à de nouvelles questions : Les "sous-marins fantomes" observés, de temps à autre dans les océans depuis 1945 seraient-ils ces submersibles disparus ? Disposeraient-ils, pour se cacher, de bases spéciales protégées et indétectables, situées dans les glace polaires éternelles ? Heureusement, il existe des photos qui permettent d'aprécier la ressemblance entre un "sous-marin fantome" officiellement d'origine inconnue, et un sous-marin Allemand de type U-23.
 
 

Un defaite inexplicable

Profitant d'un bon climat hivernal dans l'Antarctique, en 1946, juste après la fin de la guerre en Asie, une importante flotte Américaine, sous le commandement de l'amiral Richard Byrd, se dirigea vers les terres du pôle Sud. Cette expédition portait le nom de code High Jump (saut en longueur). Après une méticuleuse et longue préparation, le convoi parvint à destination en Février 1947. L'expédition se termina précipitamment le 3 Mars de la même année. Durant cette courte période, si l'on en croit des documents militaires, plusieurs avions de combat ainsi que des Marines disparurent mystèrieusement. Il n'y eut aucun commentaire de la part des autorités, mais il semble que des forces inconnues rejetèrent la présence millitaire et rendirent impossible leur installation. Après avoir soudainement annulé l'expédition, l'amiral Byrd communiqua à la presse un message extrêmement étrange et hors contexte :
 
 

A gauche, carte de l'Antarctique montrant les dernières positions nazies en 1946, elles semblent toujours en place à l'heure actuelle ; A droite, Richard Byrd




"C'est une vérité très amère a admettre mais en cas de nouveau conflit armé, nous pourrions être attaqués par des avions cappables de voler à vitesse vertigineuse d'un Pôle à l'autre. Il est urgent de prendre des mesures de défense adéquates pour intercepter les avions ennemies en provenance des régions polaires. Il serait particulièrement opportun de circonscrire l'Antarctique dans un périmètre de défense et de sécurité". En conclusion, on peut émettre l'hypotèse que l'invasion du térritoire Antarctique Allemand, la Nouvelle Souabe, était projetée par les Etats-Unis qui voulaient en faire un butin de guerre. L'occupation de cette région, apparamment facile à réaliser, connut d'un fracassant échec. Il serait ridicule de croire qu'il pourrait s'agir de l'action de "pingouins assassins" ...
 
 

Les premiers vols spatiaux furent l'oeuvre des nazis

En 1958, fut mise sur pied une nouvelle expédition Américaine en Antarctique, mais cette fois-ci, elle transportait des armes terriblement efficaces. Elle arrive à destination pendant l'obscur et froid été polaire. En trois occasions, les 27 et 30 Août et le 9 Septembre, furent lancé des missiles atomiques contre le territoire de Neus Schwabenland. Mais ceux-cu n'atteignirent jamais la terre. Ils explosèrent curieusement en plein vol quand ils parvinrent à la verticale de la côte. Pour quel motif, de telles entreprises belliqueuses furent-elles réalisés dans la zone Antarctique ? Pourquoi les a t'on entourées d'un tel halo de mystère, de désinformation et de discrédit ? Un dernier fait révélateur pourrait éclairer cette énigme : il existe un rapport Allemand fragmentaire et incomplet faisant allusion à une "mission suicide" à bord de l'unique Haunebu III que les Allemands parvenus à construire : il s'agit d'un vol cers Mars ! L'Haunebu III avait un diamètre de 71m. On calcula mathématiquement, que son autonomie, grâce à une  propulsion électrogravitationnelle, était de 75.274.000km, c'est-à-dire la distance séparant la Terre de Mars. Le propulseur électrogravitationnel, après avoir rempli son rôle, devenait ensuite inopérant car, lentement, il s'agrégait aux divers métaux utilisés pour sa construction. Un voyage dans de telles conditions signifiait, par conséquent, un saut total dans l'inconnu, et probablement sans espoir de retour pour l'équipage composé d'Allemands et de Japonnais. C'est pourtant ce qui fut déscidé, au sein de la section E-4 des SS, au printemps de 1945, bien que cela impliquât un acte de sacrifice irréversible. D'après le dossier, le vaisseau après avoir décollé, voyagea pendant 8 mois et demi avant d'atteindre la surface de Mars, comme prévu, au milieu de Janvier 1946. Apparemment, il n'y eut aucun problème durant le voyage, mais il paraît évident qu'à cause du propulseur pratiquement épuisé, de l'atmosphère Martienne extrêment ténue et de l'attraction gravitationnelle, l'atterrissage du vaisseau spatial n'a pas dû s'effectuer en douceur. Mais il n'y a aucune certitude sur ce sujet. En effet, il suffisait d'une infime quantité d'énergie pour contrecarrer la force de gravité relativement faible de la planète rouges et éviter ainsi un attérissage brutal. Quoi qu'il en soit, ce qui est certain c'est que nous ne pouvons que spéculer sur cette entreprise pionnière si particulière et sur le destin de ces premiers comonautes anonymes ... Et même si cette histoire peut sembler incroyable et susceptible de déchaîner les passions et les polémiques bien qu'il soit jalousement caché au gran public . Y'a t'il une possibilité pour que l'équipage de la Haunebu III ait trouvé quelque chose de plus que ce que les sondes non habitées ont découvert pour nous ? Des vestiges de culture ou même des abris souterrains habitables ? Il est totalement impossible de le savoir, le plus probable, c'est que le vaisseau Haunebu III soit enseveli sous plusieurs mètre de sable martien.
 
 

Y'a t'il des bases nazis sur la Lune ?

Le rapport Viennois fais aussi référence à d'étranges photographies d'O.V.N.I.S prises depuis les vaisseaux ..., à une aéronef de type Haunebu III en provenance de la Lune, s'approchant de la Terre ..., à une énorme et énigmatique lettre "S" tracée sur le sol lunaire ... Pourrait-elle représenter l'initiale du terme millitaire Allemand Stützepunkt qui signifie "point d'appui" ? Peut-on qualifier tout cela de simples hallucinations alors que nous sommes en présence d'un matériel photographique neutre et infalsifible ? Le dossier se conclut sur une considération évidente : ce sont des hypotèses difficiles à croire et même à concevoir. Toutefois, si nous observons attentivement et dans son ensemble la mosaïque des éléments et des faits complémentaires, cet examen nous amène, logiquement à réfléchir sur cette théorie dans son ensemble et de nombreuses pièces isolées du puzzle peuvent se transformer en preuvent irréfutables. C'est le cas, par exemple, des schémas de soucoupes volantes Allemandes, extraits du tome 1 du livre Deutshe Flugscheiben und U-boot überwachen die Weltmeere, de O.Bergmann (Edition Hugin e.V.S, Postfach 13, 5802 Wetter 1, Allemagne).
 
 

Toutes trace effacées

On sait avec certitude qu'en Mai 1945, touts les centre Allemands de recherche aéronautique ont reçu l'odre d'Adolf Hitler de détruire toutes les preuves concernant les projets et les armes secrètes qu'ils étaient en train de mettre au point. A cette époque, les Allemand possèdaient la fusée A-9, capable de mettre un astronaute en orbite (voir les armes secrète de l'Axe, fusée V-2 EMW A4b) permanente autour de la Terre. D'après une autre information, divulguée à la fin de la deuxième guerre mondiale, la construction , dans les ateliers souterrains de Breslau, de 4 prototypes de disque volants faisant partie du programme Vergeltungswaffen (armes de représailles) était très avancée. Dans les dernièrs sursauts de la guerre, alors que les Russes avançaient sur le front de l'Est et que les Anglo-Américains arrivaient par l'Ouest, pendant que Hitler, accompagné de ses colaborateurs les plus proches, se réfugiait dans le bunker Berlinois, on embarqua tout les plans et les prototypes secrets à bord d'un sous-marin  qui quitta Kiel pour une destination inconnue. Acosta t'il au bout de son voyage dans une endroit secrète de l'Amérique du sud ? Arriva t'il jusqu'en Antarctique ? Les travaux et les recherche commencés à Breslau se poursuivirent-ils dans un lieu tenu secret ? S'il en était ainsi, nous tiendrions la une explication relative au O.V.N.I.S, dont les équipage étaient composés d'hommes grand et blond, qui furent observés peu après la fin de la deuxièmme guerre mondiale ... Bien sur, cela n'explique pas toutes les apparitions d'O.V.N.I.S. Car déja, des textes évangéliques parlaient de mystèrieuses roue de feu tournant dans les cieux et tout au long de l'histoire humaine (Antiquité, Moyen-Age, Rennaissance, Epoque industriele, Temps moderne, Epoque Atomique et Epoque Numérique), on trouve d(innombrables récits sur les O.V.N.I.S comme on peut le vérifié en lisant n'importe quel traité sur ce sujet. Les O.V.N.I.S du IIIème Reich, pourraient expliquer une partie des phénomène observés. On peut peut penser que les technologies nazis ont coïncidé, dans une certaine mesure avec la visite d'autres civilisations supérieures, extraterrestres ? intraterrestres ? Ou bien que les nazis ont héritées de ces civilisations.
 
 




On sait que Hitler croayit au mythe de la Terre creuse qu'il essaiayit de créer des contacte grâce à des communications soutérraines. La conviction chaque fois plus affirmée qu'il existe un passage au Pôle qui mènent à l'intérieur de la Terre fais aussi penser au posibilité de la découverte de l'éxpédition de Byrd et du pourquoi les nazis sont allées en Atarctique.
 
 

tsm24.jpg

Ci-dessus, couverture de quelques magazines qui ont traité du sujet



*******************